"géographie physique", "géographie environnementale" et "géographie culturelle": autant de pliures sous disciplinaires témoignant de l'état actuel d'une discipline - la "géo" - qui trouve davantage d'avantages, me semble-t-il, à s'ancrer (tiens très territorial çà!) dans les sciences humaines, sociales, qu'à la jonction inter disciplinaire avec les "sciences naturelles"; depuis mon entrée dans cette formation - je n'en suis qu'à la L3 - je n'ai cessé de jouer, subir, négocier la dualité "humaniste/naturaliste"de la situation épistémologique du jour, et puis, tout récemment, à la faveur de bachotage sur le sujet du tourisme, de la réflexion sur les concepts de lieu, habiter, territoire et espace, en particulier les écrits de Mathis Stock - "les sociétés à individus mobiles" par exemple - je me suis résigné à considérer comme compromis prometteur de considérer le résultat des paysages et autres productions phénoménologiques socio-spatio-temporelles issu des construits cognitifs individuels et sociaux inter agissants, possiblement influençables par des valeurs de rationalité "humaniste/naturaliste", rapidement étiquetées dans le fourre-tout "développement durable": et là je dois avouer que l'honneur est sauf pour les "culturalistes", puisque l'homme se trouve avoir le dessus relativement au substratum que passionne encore les espèces non hégémoniques d'"homo géographes" que sont géomorphologues, climatologues et autres écogéographes qui trouveront toujours ma sympathie, et mon empathie en ce qui concerne certaines dérives à la limite du terrorisme intellectuel, attitude néanmoins compréhensive dès l'instant où vous est donné ce pouvoir d'être en phase avec l'idéologie dominante.
Myriades d'excuse pour mon absence de pédagogie, de clarté et de bien d'autre chose: pensée maïeutique, discours en chantier, promesse d'autres explications...